En voila une jolie histoire… elle l’a revu y a exactement 8 mois
Voila ce que m’a dit le coach… et ça a changé ma vie
Par Maya Chelbi Très chers vous, Je vous aime vraiment beaucoup. Je vous trouve chiants et craquants à la fois. J’adore vos petites manies comme celle de ne jamais vouloir demander votre chemin parce qu’un homme, ça NE SE PERD PAS. Ça découvre de nouveaux chemins, c’est tout. Beaucoup plus longs, mais qu’importe. Ce qui compte c’est d’arriver à destination, même avec 2 heures de retard. J’aime aussi quand vous « oubliez » systématiquement de remettre du papier toilette quand vous utilisez le dernier petit bout ou quand vous imaginez qu’il va probablement pousser au sac poubelle des petites jambes qui vont lui permettre de se sortir tout seul. J’aime moins quand vous avez la drague « lourde », quand vous êtes aussi collant qu’un chewing-gum croyant à tort qu’à fausse d’insistance vous allez devenir attirant. Ou quand vous vous « rincez les yeux » sans aucune discrétion quand il y a d’autres femmes autour. J’aime quand vous regardez…
Par Insaf. Z Adel et moi, on s’est rencontré à une soirée chez des amis et on est tombé amoureux. Cela fait un peu plus de 2 ans. On a décidé de se marier et la rencontre officielle avec la belle-famille a eu lieu. Je suis fille unique et j’ai perdu mon père quand j’avais 8 ans donc quand Adel est venu à la maison, il n’y avait que ma mère et moi. C’était informel, détendu, c’est comme s’il avait toujours fait partie de nos vies. Par contre quand j’ai été rencontrer sa famille, ça a été une autre histoire. D’abord, ils étaient tous là. et quand je dis tous, je veux dire que je suis sûre qu’il y avait même quelques voisins en plus des 5 générations présentes. J’ai eu l’impression de débarquer devant un tribunal. Déjà, voir tout ce monde m’a rendue super nerveuse mais si j’avais su ce qui…
J’aime mon mari profondément. Nous sommes mariés depuis 8 ans et nous avons deux magnifiques petites filles. Mais j’aime Dieu encore plus et je risque de divorcer pour ça. J’ai grandi dans une famille plutôt libérale où il y avait du vin à table tous les jours et dans laquelle on était libre de faire les choix qui nous convenaient. J’ai toujours été très croyante même si je ne pratiquais pas. J’avais toujours un exemplaire du Coran sur moi et je « parlais » régulièrement à Dieu, même si ce n’était pas sur un tapis de prière. Mon mari est ce qu’on appelle un « bon vivant » qui aime bien les apéro entre amis et les soirées arrosées. Ce qui ne me dérange pas du tout. Même s’il y a un an, j’ai commencé à faire ma prière. Lui par contre, c’est une autre histoire. On se disputait tout le temps parce que…
Par Inès. B Ce n’était pas prévu. Je n’ai pas suivi une formation pour devenir salope. C’est tombé sur moi comme ça. J’ai craqué la première minute où je l’ai vu. Il ne me quittait pas des yeux et ses yeux disaient beaucoup de choses. C’était à un séminaire. A la pause déjeuner, on s’est assis à la même table. On était attirés comme des aimants, impossible de résister. En sortant de là, on a été boire un verre et on a parlé pendant des heures. De tout. De rien. On savourait la présence de l’autre. Le lendemain, on a pris un café ensemble avant le travail et depuis, c’est devenu un rituel. Tous les matins, on commence la journée ensemble. Même si on ne vit pas ensemble. Parce qu’il est marié et qu’il a une famille. Cela fait 3 ans et c’est toujours aussi violent. Dans mon ventre il y…
Par Maya Chelbi Même si parfois on obtient ce qu’on croit qu’on veut. Il y a un vieil adage qui dit « Faites attention à ce que vous souhaitez car vous pourriez l’obtenir ». C’est exactement ce qui est arrivé. J’ai un job créatif. Il faut que je trouve des idées, toujours nouvelles, originales, qui vont toucher le plus grand monde. Ça met de la pression, une pression tellement énorme parfois que cela m’immobilise complètement. Et au plus profond de mon désespoir, dans ces moments d’improductivité absolue, j’ai prié. J’ai prié pour un job bête et simple d’exécutant, quelque chose pour lequel je n’aurais pas besoin de réfléchir, de créer, d’innover, quelque chose de routinier et de tellement simple que même un enfant de 5 ans pourrait le faire. (Oui je sais, j’étais vraiment désespérée). Et Dieu a de l’humour, cela ne fait aucun doute. J’ai obtenu un autre job qui sur papier avait…
Depuis toute petite, Selma a une passion : la photo. A tous ses anniversaires, elle demandait des cadeaux bien spécifiques : appareils photos, objectifs particuliers, logiciels de retouche… elle était vraiment mordue. Quand à 15 ans, elle a assisté à un petit défilé de mode, elle a réalisé que ce qu’elle voulait faire, c’était photographe de mode. Elle l’a annoncé à son entourage qui s’est scandalisé : « Quoi ? Ce n’est pas un vrai travail, ça. Cho kel les défilés qu’on a en Tunisie. Tu te crois à Milan ou à Paris ? Ça ne paie rien. Fais de vraies études, trouve-toi un vrai travail et garde la photo en hobby ! » Selma a plié ses jolis rêves au fond d’un tiroir, a fait des études de commerce et a décroché un très bon poste dans une entreprise étrangère. Compétente et bosseuse, elle gravit très vite les échelons et a un poste à responsabilités. Elle gagne…
Par Maya Chelbi Je coupais tranquillement mes poivrons et mes tomates pour ma salade et moment d’inattention, le couteau glisse et me coupe le doigt. Pas tout le doigt bien sûr, mais c’est une sacrée coupure, bien profonde et qui saigne sa race. Je me demande si je ne vais pas faire une hémorragie (hahaha, je rigole hein). Premier réflexe, je mets le doit sous l’eau. J’ai l’impression qu’il y a encore plus de sang qui coule. Puis je me suis souvenue d’un truc qu’on m’avait dit et qui m’avait semblé vraiment débile pour le moment: le poivre arrêterait les saignements. Rien qu’à l’idée, tout mon corps s’est recroquevillé. ça devait brûler à mort. Puis comme le sang ne voulait pas arrêter de couler et qu’il fallait bien que je me remette à préparer le repas, j’ai décidé d’être courageuse. Après tout j’avais déjà vu pire. J’ai accouché. DEUX fois. Je suis…
Par Maya Chelbi On a tous nos petits et gros moments de déprime, quand tout est gris, sans saveur et que le bout du tunnel n’arrive pas. Quand on a le nez dedans, on a du mal à s’en sortir. C’est pour cela que j’ai prévu une « trousse de secours » pour les moments difficiles. C’est ma boite à bonheur. Littéralement. Mes enfants me l’avaient offerte pour la fête des mères, l’an dernier. Dans cette boite, je mets mes jolies petites choses qui me rappellent que la vie vaut la peine d’être vécue. Une photo de nous 3 au parc de la Marsa, souriant jusqu’aux oreilles. Chaque fois que je regarde cette photo, je me souviens de cette journée et mon sourire s’étale tout seul sur mon visage. Un galet en forme de cœur. J’avais demandé un signe à l’univers que les choses allaient s’arranger pour moi et la mer a…