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Par Salwa Khiari Quand j’ai divorcé il y a 2 ans, j’étais meurtrie, couverte de bleus à l’âme, assoiffée d’amour. Cela faisait longtemps qu’il n’y avait plus d’amour dans mon mariage, j’étais en manque. J’ai décidé de tomber amoureuse comme on décide de se jeter du haut d’un pont, par désespoir. C’est dangereux de tomber amoureux quand on est désespéré. C’est dangereux pour soi parce qu’on est à fleur de peau et que la moindre égratignure prend des allures de plaie béante et c’est aussi horrible pour l’autre à qui on fait porter le poids d’attentes impossibles. Donc j’ai choisi ce pauvre gars, à qui j’ai donné armure et cheval blanc pour qu’il soit mon héros et répare tout ce qui avait été brisé en moi. Je suis une jolie fille, intéressante et drôle. Donc faire tomber le gars amoureux n’a pas été compliqué. Il était convaincu d’avoir décroché le gros…

Après la description féminine de l’orgasme, voici la version masculine, attachez vos ceintures! Zakaria: « En fait toute l’agitation, l’excitation, aboutit à un point focal qu’on attend, on sait qu’il va arriver, qu’il est inévitable… Toute l’énergie du corps se concentre à ce niveau… la consécration d’un effort continu. Juste après, on a juste envie de dormir ou de se dire ‘merde pourquoi j’ai fait ça?’ quand il ne s’agit pas de sa femme. » Karim: « Chez moi l’orgasme est précédé par une sensation de fusion totale dans l’autre Le rythme s’accélère, le corps se tend, les sensations convergent vers le sommet du pénis, et au point culminant, cela explose! Toute l’énergie est expulsée. S’en suit un vent de détente quasi divin. Les muscles se relâchent, la pression retombe et on a juste envie de savourer l’après-éruption sans câlins ni bisous, on a besoin de quelques minutes dans notre bulle. » Seif: « Un orgasme ressemble à une sorte de foudre…

Vivre ensemble ça a l’air sympa de prime abord mais on découvre très vite des petites choses irritantes pratiquement quotidiennes et qui ne changeront JAMAIS. Autant faire la paix avec tout de suite. La bataille quotidienne sur qui a fini le dernier bout de papier toilette et n’a pas remis un autre rouleau les cheveux de madame dans le bac de douche et les poils de monsieur dans le le lavabo La nécessité d’avoir au moins un arbitre international pour savoir qui va regarder quoi à la télé Les places au lit, sur le canapé et autour de la table sont gravées dans la pierre et n’importe quelle tentative de changement peut dégénérer en meurtre Il y a une lutte sans merci pour la couette où tous les coups sont permis y compris la coincer sournoisement sous son corps les humains aussi sexy soient-ils font des choses parfois très bizarres…

A l’occasion du 30 ème anniversaire de l’Association Tunisienne de lutte Contre le Cancer (ATCC), l’association Musicâme organise le 5 mai courant, un récital de flûte, violon et piano à l’Acropolium de Carthage. 20 % des recettes seront versées à l’ATCC. Le trio Clair de lune, composé de Issam Garfi, Nedim Garfi et Todor Petrov, fera résonner l’acropolium des magnifiques notes de Bach, Debussy, Martinu, Taffanel, Gaubert, Bonis, Ibert, Kreisler et Brahms. https://www.youtube.com/watch?v=knJZVEdGAlM&feature=youtu.be A ne pas manquer, à la fois pour la musique et pour la bonne cause! Lieu: Acropolium de Carthage Quand: Vendredi 5 mai à 19h30 Info-contact: 98320975 – 98436276 Points de vente: Salle 4e art (Tunis/Centre-ville) Memories Travel (Menzah V) – Tel: 54 14 34 32 / 22 72 34 87 Acropolium de Carthage Binetna est un site féminin collaboratif

On a demandé à quelques femmes de décrire ce qui se passe dans leurs corps au moment de l’orgasme: Amira: « Les quelques secondes qui précédent l’orgasme te réduisent à quelque chose de primaire, de basique qui n’a plus de pensées ou de jugements, qui est juste concentré sur cette montée, cette vague indescriptible qui te traverse tout le corps qui soudain se relâche par saccades et se détend totalement en quelques secondes, du pur bonheur! » Aïda: « C’est une sorte de fourmillement qui s’intensifie peu à peu, qui devient insoutenable, on a la tête qui tourne, puis d’un coup, on se sent incroyablement légère, comme si on flottait dans l’air. » Anissa: « Cela ressemble à des spasmes qui secouent tout le corps, un tremblement de terre, un tsunami qui s’achève en tremblements et en sueur. » Héla: « C’est comme être sur des montagnes russes, le cœur qui bat comme un fou à l’approche de…

Il arrive que le boulot de journaliste soit très dur. Aujourd’hui, on a du se sacrifier et aller tester un restaurant. Oui, vous avez bien lu, toute l’équipe de Binetna, photographe compris s’est déplacée jusqu’à Gammarth, dans un magnifique décor pour déguster les sushis les plus délicieux qui soient. Courageusement, on a donc testé pour vous la carte de Sushiwan Gammarth qui vient tout juste d’ouvrir ses portes sur la route du Relais. Il y a deux formules, la classique, à la carte, vous commandez ce que vous voulez et la formule buffet à volonté où pour 45 dinars vous pouvez manger jusqu’à vous évanouir si vous voulez. Seule contrainte, que nous on a trouvé très intelligente pour éviter le gaspillage, pour chaque pièce non mangée, il vous sera facturé 2 dinars de plus. Le système du buffet est très sympa. C’est une espèce de tapis roulant qui amène chaque fois les…

On ne vous l’avouera jamais messieurs mais on est des vraies psychopathes quand on s’intéresse à vous. Et on fait des trucs limite de sociopathe mais chut, c’est un secret hein! On stalk votre profil facebook mais ça c’est normal hein. Là où ça devient pathologique c’est qu’on stalke aussi celui de toutes les filles qui likent ou commentent vos posts trop souvent. La définition de « trop souvent » étant plus d’une fois. On fait une recherche google avec votre nom et votre photo pour trouver toutes vos traces sur internet On ouvre une page en navigation privée pour consulter votre profil Linkedin en total anonymat On rajoute vos amis les plus proches On recherche qui sont vos parents, vos frères et sœurs, cousins…bref tout ce qui peut être avoir un lien avec vous de près ou de loin pour glaner le maximum d’informations Pour peu qu’on sache vos activités préférées…

Il est impossible d’échapper aux corvées ménagères et le désordre et la saleté reviennent toujours. C’est du non stop. Pour celles d’entre nous qui n’ont pas d’aide ménagère ou qui en ont une qui ne sert un peu à rien -_- voici quelques techniques pour se simplifier la tâche. Tout d’abord, arrêtez de mettre la barre si haut. Les photos d’intérieurs qu’on voit dans les magazines ou sur Instagram ne sont pas réelles. Ce sont juste des poses comme ces photos de mannequin qu’on retouche. Aucune maison ne peut rester propre et rangée tout le temps si on vit dedans. Ne décidez pas de nettoyer toute la maison, de ranger les placards et de faire les fenêtres le même jour. C’est une tâche impossible et vous serez très vite découragée. Faites ça par petits morceaux mais régulièrement. Quelques endroits donnent le ton à toute la maison, comme la cuisine par exemple.…

Par Sahar M. J’ai toujours eu des problèmes de dépression même si ça n’a pas été diagnostiqué très tôt. A l’adolescence, je me scarifiais, je me faisais des entailles sur le corps. La douleur localisée me faisait oublier la douleur sourde qui était partout dans ma vie. ça me faisait mal de vivre. Je voulais que ça s’arrête. Je pensais souvent à mettre fin à mes jours. La seule chose qui m’arrêtait, c’était la peine que ça aurait fait à ma mère. Puis j’ai eu mon bac, j’ai été à la fac et j’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari. Cela a en quelque sorte mis ma dépression en veilleuse. J’avais encore des épisodes de désespoir absolu mais il était là et me ramassait à la petite cuillère. La tristesse était toujours la trame de fond de ma vie et devenait parfois insoutenable et à 25 ans j’ai avalé…

Par Cherifa Aloui Ça a commencé à l’adolescence. Dès qu’il fait un peu chaud, que je fais un effort ou que je suis stressée, je me mets à suer. Et par suer, je ne parle pas de quelques gouttes sur mon front, je parle de cheveux humides et collés, de mains moites, de gouttes qui ruissellent le long de mon nez, de vêtements collés dans le dos, d’aisselles et pieds trempés, bref, le cauchemar. Ça me pénalise pour tout, y compris et surtout dans ma vie amoureuse. Depuis le lycée déjà, je voyais la gêne de ms petits amoureux quand ils me tenaient la main et qui la lâchaient dès qu’ils pouvaient. Plus grande, danser en boite était hors de question à moins de vouloir me retrouver avec des auréoles aux aisselles. Je sue même en hiver quand tout le monde a froid mais l’été c’est l’horreur parce que cela…