Couple

Couple : comment éviter que la routine ne tue la complicité ?

La vie de couple peut facilement tomber dans une routine rassurante, mais parfois étouffante. Moins de gestes tendres, ennui au lit, perte de complicité… Les chiffres le confirment : 1 couple sur 4 ressent une baisse d’étincelle. Pourtant, quelques gestes intentionnels suffisent pour raviver la flamme : rituels partagés, moments à deux, reconnexion intime et qualité plutôt que quantité dans l’intimité.

Lire plus
Cuisine

3 recettes d’été tunisiennes, faciles, légères et pleines de goût !

L’été en Tunisie, on privilégie les plats frais, rapides et savoureux. Découvrez 3 recettes typiquement tunisiennes, salade méchouia, mlawi wrap, tajine malsouka à déguster sans prise de tête !

Lire plus
Blogs Binetna

Inégales face au célibat : La femme seule, entre clichés et vraie vie !

En Tunisie comme ailleurs, être une femme célibataire, c’est souvent subir le poids du regard social. Et si on changeait enfin de perspective ?

Lire plus

Pour les 80 ans de la tante de ma mère, la famille a organisé un grand-déjeuner dans la ferme familiale, couscous au mouton, salade méchouia grillée sur le kanoun, tabouna préparée sur place…le bonheur! Toute la famille était là, les enfants couraient partout et ma grand-tante souriait jusqu’aux oreilles. Bien sûr, ce tableau idyllique ne peut pas durer quand on a un fils comme le mien. Ce gamin atteint des niveaux insoupçonnés dans l’art des bêtises. Il fait preuve d’une créativité étonnante. Et il n’a que 6 ans! 🙁 Notre ferme est une vieille ferme. Elle n’a pas été modernisée. Les toilettes sont en dehors de la ferme et a porte a un verrou qui ferme de l’extérieur, je n’ai jamais compris pourquoi. On enfermait les gens dans les toilettes avant? On s’est tous installés autour de la grande table. On a placé les enfants autour de la mida et…

Par Samia Fradj Comme beaucoup de femmes actives tunisiennes, j’ai fondé petit à petit et parfois difficilement ma petite famille. J’avais peu d’aide familiale et un métier prenant, mais j’y suis arrivée. A 30 ans, j’avais 2 beaux enfants, qui me prenaient tout mon temps. 22 mois séparaient mon fils de ma fille et comme beaucoup de mamans je courrais dans tous les sens. A l’époque j’essayais de finir une thèse de doctorat et je travaillais dans 3 établissements différents. J’enchaînais les heures supplémentaires pour joindre les 2 bouts, et surtout pour offrir le meilleur à mes enfants. J’avoue, qu’à l’époque, j’ai souvent été dépassée par les évènements, petit à petit, je n’avais plus aucune vie sociale, je croisais mes collègues au travail en me promettant toujours de sortir avec elles un de ces quatre. Malgré ma bonne volonté, ce n’était pas vraiment possible. Les années ont passé, les péripéties…